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  • Sapocaya au Duc des lombards - REDIFF
    Sapocaya, au Brésil et depuis la nuit des temps, c’est un arbre qui soigne, qui abrite les oiseaux et qui rosit au printemps. Mais depuis 2023, Sapocaya, c’est aussi un groupe franco-brésilien fondé par le trompettiste Jamayê Viveiros et le percussionniste Tristan Boulanger. Un terreau brésilien, entretenu et enrichi par les anciens (Hermeto Pascoal, Baden Powel, Airto Moreira...), sur lequel fleurissent aujourd’hui le jazz, la funk et les rythmes afro-caribéens, pour faire danser dans les jardins. En tout, ce sont neuf musiciens qui montaient lundi dernier sur la  scène du Duc des Lombards à Paris. Au-delà de l’exploit physique que ça représente, c’était à coup sûr un concert à ne pas manquer et un nom à ranger soigneusement dans un coin de sa tête, car le groupe, certes enraciné, est clairement en train de prendre son envol...On y était avec notre studio mobile. On a tout enregistré, et ce soir, on écoute.Rendez-vous dès 21h dans Jazzlive! Line up Jamayê Viveiros - trompette / PífanoMaxime Chevalier - tromboneZephania Lascony - saxophone ténorLéo Morini - saxophone alto / sopranoCésar Aouillé - guitare électriqueSimon Voituriez - basseTaylor Philemon - batterieArlet Feuillard - percussionsTristan Boulanger - percussions, Composition & ArrangementsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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    47:39
  • Sasha Berliner au Duc des Lombards
    Et ce soir, une batteuse de rock qui s’est transformée en étoile montante du vibraphone jazz. Et tout ça parce-qu’il n’y avait plus de place dans la classe de batterie de l’école des Arts d'Oakland en 2014. A l’époque, Sasha Berliner ne sait même pas ce qu’est un vibraphone, mais elle est curieuse, alors elle accepte de rencontrer l’instrument. Et comme dans toutes les belles histoires, c’est le coup de foudre. On garde le côté rythmique et percussif, et on y ajoute la dimension mélodique et harmonique. En gros, le compromis idéal pour le petit côté surdoué-intrépide de notre héroïne du soir. Deux ans plus tard, Sasha Berliner intègre tout simplement la meilleure école de jazz des Etats-Unis : la New School for Jazz and Contemporary Music de New York, où elle rencontre Stefon Harris, légende du vibraphone, qui devient petit à petit son mentor. C’est à ses côtés qu’elle sculpte minutieusement son propre style à la fois éclectique, contemporain et un poil futuriste. Un style qui plaît en tout cas, et qui met tout le monde d’accord. C’est simple, avec Sasha Berliner, tout est un exploit. En 2019, date de sortie de son premier album, elle est la première Américaine à recevoir le LetterOne « Rising Stars » Jazz Award (concours qui, comme son nom l’indique, récompense chaque année les futures stars du genre). L’année suivante, et à tout juste 21 ans, elle est la toute première femme à atteindre la première place du classement Downbeat (aka le classement le plus regardé du jazz) dans la catégorie “étoile montante du vibraphone”. Elle enchaîne avec une suite musicale pour Marimbas, des concerts sur les scènes les plus prestigieuses du monde entier (Newport Jazz Festival, Festival de Jazz de Montréal, Ronnie Scott’s, Blue Note), un deuxième album encore plus acclamé pour lequel elle s’entoure des meilleurs musiciens et musiciennes de sa génération, quelques collaborations avec d’immenses pointures (Cécile McLorin Salvant, Christian McBride, Nicholas Payton), … Bref, je crois que vous avez compris, Sasha Berliner, c’est peut-être l’étoile la plus brillante du ciel de l’avant-garde.Ca parait mignon comme ça, mais il ne faudrait pas oublier que, si les étoiles brillent, c’est parce-qu’elles produisent leur propre lumière par réaction de fusion nucléaire. Oui, c’est puissant une étoile. On ne rigole pas avec les étoiles. Et Sasha Berliner, c’est pareil. Sa musique est profondément politique, et elle riposte depuis toujours et sans concession face aux défis auxquels sont confrontés les femmes dans le milieu. Dès 2017, et à seulement 19 ans, elle publie une lettre sur ses expériences et observations du sexisme au sein de la communauté jazz (lien bas de page). Mais il restait malgré tout un exploit que Sasha Berliner n’avait pas encore relevé : jouer au Duc des Lombards. Affaire réglée : la vibraphoniste est à l’affiche pour deux soirs, aujourd’hui et demain. L'occasion de présenter son troisième et tout dernier album au titre français : "Fantômes". On n’allait évidemment pas rater ça, alors avec Alexandre Visquis à la réalisation, on a posé notre studio mobile dans un coin de club pour vous faire vivre la première parisienne de Sasha Berliner en direct sur TSFJAZZ. Line up Sasha Berliner - vibraphone Rasmus Sørensen - pianoFelix Moseholm - contrebasse Jamie Peet - batterie Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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    1:41:24
  • KJM x EOANDO au New Morning
    Et ce soir, on a sorti notre studio mobile pour assister à la rencontre de deux univers, sous le signe du funk. D’un côté, le DJ, écrivain et producteur japonais Shuya Okino. Et de l’autre, l’une des plus grosses machines funk de la scène française, le groupe Echos of a New Dawn Orchestra. Un peu de contexte s’impose. Commençons par le commencement : Shuya Okino. Dans les années 2000, avec son frère Yoshihiro, il fonde presque sans s’en rendre compte l’un des projets phares de l’acid jazz des années 1990-2000, en mixant à peu près tout ce qui font danser : l’électro, le jazz, la house, le broken beats et bien sûr, le funk. Jusqu’à attirer l’attention d’un certain Gilles Peterson, qui leur trouvera même un nom : le Kyoto Jazz Massive. Ensuite, tout va très vite. Un premier album, “Spirit of the Sun” en 2002, histoire de mettre tout le monde d’accord. Une tournée internationale deux ans plus tard avec la chanteuse Vanessa Freeman. Une décennie à faire danser le monde aux quatre coins du globe, écrire des livres, produire tout un tas d’artistes à succès (Mondo Grosso, Cosmic Village, DJ KAWASAKI), et se lancer dans une carrière solo. Bref, Shuya Okino a trouvé de quoi occuper ses années 2000, et s’est imposé comme un figure centrale de la musique Club Jazz. En 2015, il réactive la marque Kyoto Jazz Massive sous l’appellation Sextet, pour explorer au fil de deux albums l’esprit de la légende du spiritual jazz, Pharoah Sanders. Mais, depuis cette fameuse tournée internationale en 2004, plus aucune apparition sur le vieux continent. Jusqu’en 2022, date de sortie du deuxième album de Kyoto Jazz Massive. Tournée mondiale oblige, Shuya Okino fait son grand retour en Europe après plus de 15 ans d’absence. On était nombreux et nombreuses à attendre ça de pied ferme. Et parmi tous ces impatients, un certain Étienne Nee Dupuy, programmateur au New Morning et manager des EOANDO, groupe qui faisait ses débuts il y a 10 ans… au New Morning. Je vous laisse donc deviner où nous nous trouvons ce soir dans Jazzlive. Kyoto Jazz Massive et Echos of a New Dawn Orchestra, après avoir écumé les scènes parisiennes et londoniennes ces trois dernières années, viennent de sortir un album dans lequel se rencontrent leurs deux univers. C’est ce qu’on s’apprête à découvrir ce soir, en live et en direct sur TSFJAZZ. Rendez-vous dès 21h! Line upShuya Okino - directionVanessa Freeman - voixCarel Cléril - basseJeeb's Paliès - batterieEli Frot - claviersKevin le Bellec - guitareRoman Didier - trompetteSebastien Betancur - percussionsIndy Eka, Agyei Osei - voixHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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    1:58:40
  • Harry Diplock Trio au Duc des Lombards
    Et ce soir nous avons rendez-vous avec un guitariste britannique qui joue le swing à la française. En tout cas, à la façon d’un certain Django Reinhardt. Autant dire que la rencontre n’était pas gagnée d’avance. Heureusement, il arrive parfois au hasard de très bien faire les choses...Adolescent, Harry Diplock est fan de blues. Du blues, il dérive sur le funk, avant de plonger à corps perdu dans le punk et le métal. De sorte que, encore aujourd’hui, il cite Meshuggah comme l’un de ses groupes préférés. Mais tout change le jour où, à 13 ou 14 ans, son prof de guitare lui fait écouter une compilation de jazz manouche réalisée par Thomas Dutronc! Harry Diplock découvre alors Django, mais aussi Biréli Lagrène ou le trio Rosenberg, et tombe fou amoureux fou de cette musique. Il est même l’un des cofondateurs du London Django Collective. Et comme souvent en musique, un amour n’arrive jamais seul. En bon metalleux, Harry Diplock a commencé par la folk et l’électrique. Mais avec le manouche, il rencontre la guitare acoustique et se prend de passion pour toutes les subtilités de l’instrument. A tel point qu’en arrivant à Londres il y a une dizaine d’années, Harry Diplock commence une formation de luthier. Sa carrière musicale devenant de plus en plus sérieuse, il est rapidement obligé d’arrêter la lutherie, mais retenez quand même que quelque part sur cette terre, il existe 5 ou 6 guitares fabriquées par notre héros du soir. En ce qui nous concerne, chez TSFJazz, on a découvert Harry Diplock il y a deux ans, pour un premier album en trio, avec des copains et un titre qui va bien : “Harry Diplock Trio & Friends”. Parmi ces amis, quelques-unes de nos connaissances d’outre-manche, comme le clarinettiste et saxophoniste Giacomo Smith ou encore le pianiste Joe Webb.   Aujourd’hui, le guitariste est de retour pour deux sets sur la scène du Duc des Lombards. Et avec un nouveau trio : Sol Grimshaw à la guitare rythmique et Isaac Burland à la contrebasse. Ce midi, ils étaient tous les trois invités à la table du Déli Express de Jean-Charles Doukhan, et ils nous ont avoué qu’un deuxième album était dans les tuyaux. Ils nous en ont même joué un extrait en exclusivité mondiale, et il y a des chances qu’ils en fassent de même ce soir dans Jazzlive…Rendez-vous à 22H! Line upHarry Diplock - guitareSol Grimshaw - guitare rythmiqueIsaac Burland - contrebasse Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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    1:37:11
  • Un début de saison à Pau
    Et ce soir, Jazzlive pose ses valises en terre béarnaise. Avec Antonin, on s’est levé très tôt ce matin, on a mis notre studio mobile dans le train, et en début d’après-midi, on est arrivé en gare de Pau, sous 30 degrés, et un beau ciel bleu.Les conditions idéales pour cette journée d’ouverture de la quatrième saison internationale Jazz à Pau, qui depuis 2022, fait vibrer le chef-lieu des Pyrénées-Atlantique aux rythmes de tous nos artistes préférés. Et chaque année, ils et elles viennent du monde entier pour monter sur la scène du Foirail. Le Foirail, comme son nom l’indique, c’est l’ancien marché au bestiaux de la ville. A la fin du XIXe, c'est ici que Palois et Paloises se retrouvaient pour faire l’acquisition de quelques bovins. Plus d’un siècle plus tard, on ne vend plus de bétail, mais le Foirail reste un lieu essentiel dans la vie paloise, le “poumon culturel de Pau” peut-on lire sur le site internet. Entièrement rénové, on y trouve aujourd’hui l’orchestre de Pau Pays de Béarn (dirigé par Fayçal Karoui), mais aussi de la danse, du cirque, du théâtre, un cinéma culturel et, ce qui nous a amené jusqu’ici : du Jazz. En trois ans, Pau a vu défiler beaucoup des grands noms du genre, de John Scofield à Chano Dominguez, sans oublier Youn Sun Nah. Et derrière cette très belle programmation, le pianiste Stéphane Kochoyan, qui se trouve être également directeur artistique. Ce soir, à l’affiche du concert d’ouverture de cette saison 2025-2026 : Alfredo Rodriguez. La dernière fois qu’on croisait ce pianiste cubain révélé par Quincy Jones, c’était pour son dernier album : "Coral Way". Un disque dans lequel il donnait à entendre les sons de sa nouvelle vie à Miami, avec toute la virtuosité et le sourire que le caractérisent. Ce soir, on retrouve Alfredo Rodriguez en trio, et avec quelques surprises… Rendez-vous dès 19h30 sur TSFJazz! Line upAlfredo Rodriguez - piano, voixYarel Hernandez - basse Jay Kalo  - batterie Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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    2:00:25

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Über Jazzlive

Jazzlive c'est l'ambiance d'un club de jazz chez soi.  Jazzlive c'est aussi des artistes et des concerts qui ont marqué l'histoire : Bill Evans au Village Vanguard, Art Blakey au Club Saint-Germain, Ella Fitzgerald à Berlin, Roy Hargrove au New Morning... Une heure pour revivre quelques-uns des plus grands moments du jazz sur scène. JAZZLIVE fait peau neuve sous la voix de Manon Brimaud qui est bien décidée à promener son micro dans les plus belles salles, les meilleurs concerts et festivals pour vous les faire vivre comme si vous y étiez. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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