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  • Turquie: Istanbul teste les immeubles contre les séismes
    Après le double séisme du 6 février, qui a frappé la Syrie et la Turquie, faisant des dizaines de milliers de morts, les autorités turques font un état des lieux des infrastructures de la ville.  De notre correspondante à Istanbul, Le 6 février dernier, deux puissants séismes frappaient le sud-est de la Turquie et le nord de la Syrie. En Turquie, où l'effondrement des immeubles a tué plus de 48 000 personnes et forcé 3,3 millions de rescapés à quitter leur province, la catastrophe a aussi rappelé la menace majeure qui pèse sur Istanbul, capitale économique du pays. Dans cette mégapole de plus de 16 millions d’habitants, la majorité des habitations ne sont pas aux normes parasismiques et risquent d’être endommagées, voire détruites, par le grand séisme annoncé. Depuis quelques années, la mairie – dirigée par l’opposition – propose aux Stambouliotes de faire tester leurs immeubles. S’ils étaient peu nombreux à en faire la demande jusqu’ici, les séismes du 6 février ont changé la donne… Depuis, le nombre de demandes explose. Un reportage à retrouver en intégralité dans Accents d'Europe à 19H10 TU ou sur rfi.fr. Le podcast est aussi disponible sur les plateformes d'écoute. ► À lire aussi : Turquie: rescapés du séisme, les réfugiés d'Istanbul
    3/23/2023
    2:36
  • Les divisions de l'Église orthodoxe en Lituanie face à la guerre en Ukraine
    Les ecclésiastiques lituaniens peuvent désormais de nouveau célébrer la messe et administrer les sacrements. Un soulagement pour une partie des orthodoxes locaux, des Ukrainiens réfugiés en Lituanie et des opposants locaux qui ne voulaient pas prier dans l’église dirigée par Moscou. C’est aussi le retour de l’Église orthodoxe de Constantinople en Lituanie, plus de deux siècles après sa disparition. De notre correspondante à Vilnius, Ce mercredi, le patriarche œcuménique Bartholomée est en visite officielle en Lituanie. Il y a quelques semaines, il a pris sous sa protection cinq prêtres orthodoxes lituaniens qui avaient été suspendus, puis révoqués par leur hiérarchie pour s’être opposés aux positions pro-guerre du patriarche Cyrille. Ils ont alors fait appel de cette décision auprès de Bartholomée, le patriarche œcuménique de Constantinople à la tête de l’autre Église orthodoxe. Un reportage à retrouver dans son intégralité dans Accent d'Europe ► À lire aussi : Le jour où l’Église orthodoxe d’Ukraine a rompu ses liens avec Moscou
    3/21/2023
    2:35
  • Iran: pour Norouz, l'ambiance n'est pas vraiment à la fête
    Norouz, le Nouvel an en Iran. Une fête assombrie par les récents événements dans le pays. Le mouvement de contestation pour réclamer plus de libertés a fait des victimes, et des milliers de jeunes sont encore emprisonnés. Mais la colère s’exprime aussi sur la situation économique désastreuse. L’inflation touche de plein fouet les Iraniens.
    3/20/2023
    2:29
  • Nasrat el-Badr, chanteur et compositeur: avec sa musique, il raconte son pays depuis vingt ans
    Dans les prémisses de la guerre, un jeune artiste irakien prometteur voit le cours de sa carrière changé du jour au lendemain. D'un événement à l'autre, de l'invasion américaine en 2003 à l'instauration du nouveau régime en Irak, Nasrat el-Badr, chanteur et compositeur a vu sa musique, ballottée d'un extrême à l'autre, raconter l'histoire de l'Irak à partir du 20 mars 2003.  Cette voix, les Irakiens la connaissent. Pourtant bien loin des chansons populaires d'aujourd'hui. Nasrat el-Badr commence sa carrière sur un autre ton en 2003, sous le régime de Saddam Hussein. « Dès le début de l'année 2003, nous savions que la guerre approchait, qu'il faudrait des chants patriotiques pour soutenir l'armée irakienne dans la guerre . À l'époque, Saddam Hussein a offert 2 millions de dinars irakiens à tout compositeur qui composait un chant patriotique qui ferait un carton », nous raconte t-il. Une proposition qui ne se refuse pas. Nasrat el-Badr se souvient aujourd'hui des premiers bombardements américains et de lui, qui reste au studio Hikmet mettant en musique une centaine de chants patriotiques à la gloire de Saddam Hussein. « Le palais de Saddam était proche de nous et nous avions peur d'être frappés par erreur, alors je buvais jusqu'à ce que la peur s'en aille. » Le 9 avril, Bagdad tombe et le ministre de l'Information, Mohammed el-Sahhaf, s'invite dans son refuge. « C'était le premier ou deuxième jour après la chute de Bagdad, al-Sahaf est venu parce que cela a créé une alternative pour éviter que la station de radio ne soit bombardée. » De là, Mohammed el-Sahhaf émet des messages de propagande, mentant ouvertement sur la situation du pays. Sa présence, bien que brève, place le studio et Nasrat dans le viseur de tous les groupes à la recherche de Saddam Hussein. C'est alors qu'une nouvelle visiteuse frappe à son tour à la porte. C'est une milice chiite qui veut aussi un chant glorifiant ses chefs spirituels. « J'ai travaillé pour l'armée du Mahdi, poursuit Nasrat el-Badr. Je savais juste d'eux qu'ils ciblaient les boutiques d'alcool, et que ces gens étaient pauvres alors j'ai enregistré pour eux, et en échange ils ne s'attaquaient pas à cette zone. » Face à la montée des violences entre les factions chiites et sunnites, Nasrat el-Badr s'envole pour la Syrie. Sa carrière explose, il chante, compose et produit de jeunes artistes irakiens en exil. Mais ses paroles s'opposent à la présence américaine en Irak lui valent, cependant, d'être inscrit sur la liste noire des terroristes dans son pays. Mais en 2008, à l'occasion d'élections locales, c'est une autre chanson qui lui vaut d'être réhabilité par le gouvernement de l'époque. Cette chanson rassemblait tous les partis et elle encourageait les gens à aller voter après qu'ils avoir rejeté le nouveau régime installé par l'occupant. Depuis son retour en Irak, Nasrat el-Badr n'a qu'une idée en tête : faire reconnaître et rayonner la musique irakienne dans le monde arabe.
    3/20/2023
    3:05
  • Pérou: la contestation continue à Puno
    Depuis trois mois et la destitution du président Pedro Castillo, des manifestations ont lieu au Pérou. Après d’intenses protestations et blocages à Lima et dans tout le sud du pays en janvier et février, seule la région de Puno proteste encore contre le gouvernement. D’après une récente enquête, les trois quarts des Péruviens désapprouvent la présidente Dina Boluarte. À Puno, au bord du lac Titicaca, le taux de rejet de la présidente atteint 90% et la contestation continue.
    3/19/2023
    2:37

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